Envie d'amour et de tendresse

Viens au pays de mon coeur,

Viens mais ne le blesse

Aux coups de ta douceur.

Un instant qui expire

Au fleuve des soupirs

Une caresse sur ma joue

Un regard qui m'enjoue.

L'amour est un jeu

Qu'il faut mener au mieux,

Une larme, un chagrin

Continuer le chemin.

Ta main dans mes cheveux

Oui amour je te veux,

Comme un rêve encore endormi

Se levant sur la nuit.

Les rois mages sont passés et ont emmené avec eux toute la déco de noël !!!!

Bin, oui à chaque période ces joies !!!!!!

Noël s'est caché sous l'année qui démarre, les rois l'emportant,

l'année n'a plus qu'à s'écouler !!!!

De quoi sera t'elle faite cette année ?????

Et bien de ce que je mettrai dedans

et ses aléas aussi !!!!

Et oui les aléas de la vie !!!!

On ne peut pas ne pas compter dessus !!!!!

Pour démarrer cette année, je commence par poser mes valises

et les défaire !!!!!

L'école a repris, la routine reprend son cours !!!!

Faire mes vitres pour y voir un peu plus clair

laver les rideau pour immaculer de lumière !!!!!

Mettre les points sur les "i"

Mais avant tout cela envoyer mes cartes de voeux !!!!!

Je vous souhaitais pour cette année de la passion

Car dans le gris de la vie,

c'est elle qui nous élève quand même !

quelle drôle d'idée !!!!!

Mais quelle bonne idée aussi !!!!!

C'est cette passion quelqu'elle soit qui colore la vie.

Mais d'où me vient une telle idée !!!

Bon, je ne cherche que rarement d'où me vienne mes idées,

sinon j'y passerai un temps fou !!!!!

Mais là cette idée est apparue comme un éclair de génie

un voeux formulé par une autre que moi

et pour une autre raison que la bonne année,

je ne pouvais vous le dire sur l'article,

cela n'était pas de circonstance.

Une chanson, une musique,

pleine d'amour et de tendresse !!!

J'appelle à la barre, Linda Lemay

pour vous en laisser juger

Sur ce petit mot,

il ne me reste qu'à vous envoyer

de gros

Mais quelle est cette nature 

Qui dans le temps perdure,

Une graine que le vent sème

Un arbre que l'ombre parsème.

Une fleur qui s'effeuille

Dans le vent malmenant

Cours à travers le temps

Dans le cyclone de son oeil.

Sous le gel apeuré

Dors un chant d'été

Sous le vert palit

La cigale reste endormie.

Et sous le soleil se levant

Chaque jour je danse

En mon coeur de transparence

Tu restes là, aimant.

Comme une fontaine qui se tarie

L'eau s'est envolée

En d'autre contrée

L'eau s'en est partie.

Comme une fontaine seule

dans la vieille rue

Entourée de tant de grues

La cachant tel un linceul

Une fontaine qui se souvient

Un jour dans le lointain

Les rires des enfants

Venant se désaltérant.

Les jeux d'éclaboussure

Sur le pavé qui se fissure

Une glissade incontrôlé

Sur les fesses ramassé.

Elle se souvient d'un son de cloche

Au sommet de l'église

Qui résonne sur la tamise

Et d'une banderole que le vent décroche.

Elle se souvient de ce village sans panache

Des vieilles pierres qui s'alignent

Des villageois discutant très digne

Sans éclat de voix qui ne s'entache.

Elle se trouve bien vieille cette fontaine

Quand dans ces souvenirs elle se promène

Elle voudrai parfois pouvoir s'éteindre

Pour enfin les rejoindre.

Et perdu dans cette rêverie

Elle n'entend plus les cris

Des enfants joyeux sur les pavés

Elle ne voit plus le ciel bleuté.

Elle devient sourde et aveugle

Et en son coeur qui se tarit

Juste une douleur qui beugle

Sans la moindre goutte de pluie.

Elle ne vois plus, elle n'entend plus

Au fin fond de ces souvenirs elle s'est perdu,

Elle disparaît peu à peu du paysage

Sans laisser le moindre message.

Amis lecteurs qui me lisaient

Je ne suis pas cette fontaine éteinte

Mon coeur vibre et se teinte

Entre jour et nuit mêlé.

Ce texte s'est ainsi posé 

Sans rien demandé !

Juste une fontaine qui se meure

Étouffée de ses leurres.

Juste une fontaine sans espoir

S'endormant comme un loir

Oubliant que dans la nuit

L'étoile toujours s'ensuit.

Oubliant tout simplement l'instant

Qui se pose constamment

Dans un sourire d'enfant

Dans le soleil se levant.

Ami lecteur qui me lisaient

il me reste juste à vous envoyer

Dans un souffle tout léger

Ces quelques baisers.

Le défi 91 chez les croqueurs de mots

part de chez Jill-Bill pour cette quinzaine

et elle nous propose pour ce thème,

"Mon chez moi, ma maison"

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Ma maison à moi elle se fissure,

Plein de trous en ses murs

Mais ici l'amour murmure.

Ma maison, elle est toute petite,

Et tout plein de monde y pépite

Mais ici la vie palpite.

Ma maison à moi est toute vide

Rien pour cacher les rides

Mais le courant de pensées coule torride.

Dans ma maison l'araignée tisse sa toile

Capturant la poussière en ses voiles

Mais ici se cache un lit aux étoiles.

Ma maison à moi est toute félée

Et les murs sont tombés

Mais ici chante le chant de l'amitié.

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Mais surtout, dans ma maison à moi

Il y a moi

Et je vous envoie 

de gros