Avez-vous déjà remarquez comme
Sagesse et tristesse
Rime dans la détresse ?
(non, moi non plus une réflexion qui subitement apparaît)
Connaissez-vous le roi Pacôme ?
(Non, moi non plus, j'invente l'histoire au fur et à mesure)
Jamais il ne s'asseyait sur son trône
Il préféré s'asseoir au bord du Rhône.
Il ne pouvait connaître son royaume
Ni le village aux toits de chaume.
Il restait là assis à contempler
Et parfois il chantait.
Ses administrateurs fort courtois
Changeaient ces paroles en lois.
Il fallait bien que le roi soit.
Dans le village, la famine courrait
Une armé de rats avait tout ravagé.
Les villageois excédés voulurent voir leur roi,
Lui exposèrent le problème de toute bonne foi.
"Asseyez-vous villageois
Rangez votre colère dans vos carquois
Et écoutez le chant du vent
Qui apaise tous les ressentiments !"
Obéissant, ils s'asseyèrent et écoutèrent.
On aurai pu voir leurs âmes s'envolaient,
Plus de courroux, plus de colère
Ils étaient là, comme hypnotisés.
Mais au village, le drame persistait,
Femmes et enfants étaient restés, là, désarmés.
On n'en pouvait plus d'attendre les hommes disparus.
La panique vite se propageait dans les coeurs affolés.
Un enfant qu'on disait de la rue
Observait de tous côtés, il ne comprenait pas ce qu'il se passait.
Il ne possédait rien, juste un pipeau à sa main,
Il jouait pour quelques sous qui l'emmenait vers demain,
Il connaissait bien ces rats, ils étaient presque copains.
Le soir venu, il leur jouait une douce mélodie
Qui les accompagnait dans leur nuit.
Jamais, ils ne les avait vu se comporter ainsi,
Jamais il ne les avait vu se propager si vite.
Un instant songeur, il hésite :
Et si il allait retrouver les hommes du village ?
Qu'avait il donc à perdre pour ainsi hésiter ?
Sitôt penser, sitôt il partait.
Les hommes avaient laisser des traces de leur passage
L'enfant les suivit de paysages en paysage.
A la sorti de la forêt, il vit le Rhône, brillant de mille éclats
Il vit le roi, assis, appartenant presque à cette nature,
Il vit les villageois, cela lui sembla de bonne augure.
Mais il lui semblait qu'ici la vie n'était pas,
Il lui semblait qu'ici rien ne bougeait au vent.
Il s'approcha le pas tout tremblant.
"Assied toi bel enfant et écoute le chant du vent !
Laisse le caresser tes cheveux d'argent !"
L'enfant ne s'assit pas malgré l'ordre chantant.
Et le roi continua de chanter
"Malgré le monde
Et bien au delà des ondes
Seul l'enfant de la liberté
Saura s'adosser à l'arbre plié"
L'enfant ne comprenait pas, mais la voix le charma
Il pris son pipeau et le roi accompagna.
Le vent fît chanter ses cheveux emmêlés,
Le vent fît courber l'arbre enchanté,
Le vent fît tourbillonner l'eau assoiffée.
Un cri sortit du fond des marées
Une ombre apparut terrifiée
Un rat géant sorti du fleuve étincelant.
L'enfant jouer toujours sans peur ,
L'enfant jouer toujours de tout son coeur.
Le roi chanter toujours lui aussi
"Du fond de sa mélodie
L'enfant triomphera de son combat
Du fond de son coeur
L'enfant sait qu'il n'a pas de rancoeur.
Si le fleuve est ensorcelé
L'enfant sait"
La bête continuait encore de hurler.
Elle réveilla les villageois de ces cris terrifiées.
Ils voulurent la tué sans pitié
Mais le roi chantait
"Nul ne peut battre ce maléfice
Laissez faire l'enfant du calice
Lui seul sait.
Joue bel enfant
De ton pipeau troublant
Joue encore et encore
Pour que demain ne soit pas mort"
Plus les cris s'intensifiaient, plus la bête diminuait
De plus en plus petite elle se faisait
Jusqu'à devenir un rat, tout petit
Se réfugiant près de l'enfant quand de l'eau il sorti.
Et dans le village, les rats sortirent de toute part
Pour se fondre dans la forêts se cachant de tout regard.
Le ciel gris venait de s'illuminer
Et dans les champs, le blé chantait.
L'enfant et le rat, ne se quittèrent plus jamais
Ce fût le début d'une belle amitié.
Et dans tout cela, le roi Pacôme ?
Il fini enfin, par conquérir son doux royaume.
Et maintenant, vous pouvez me dire le rapport entre le début et la fin ????
Moi, je ne vois pas !!!!
Mais j'y reviendrai sûrement !!!!!
Mais maintenant que c'est fini,
Cela me fait penser à une musique,
cela pourrait être le début de ceci :
Bon perso, je préfère ma fin à moi !!!!
Plus jolie pour une fin.
Mais j'aime cette chanson quand même !!!!
Il me reste juste à vous envoyer
de gros